Premières motos.
Première Moto.
2ème machine.
Regardant tous les deux roues, je fus attiré par un gros scooter de marque Piaggio 250 que j'ai acquis neuf. La prise en main fut rapide car j'avais déjà conduit quelques engins de cette nature en moins puissants. Le coté positif, c'est que la carrosserie permet d'avoir une protection importante pour éviter les salissures. Le coté négatif c'est le manque de "pêche" au dessus de 80 et l'inconfort sur les rues rapiecées dû aux petites roues et à la position assise comme sur une chaise. Un été de 2003, lors d'une rencontre internationale professionnelle, nous avions emmené le scoot sur une remorque en Ardèche. Sur place nous suivions le groupe mais à distance, car à deux le scoot 250 manquait de jus. Un collègue obligeant, avait même proposé à ma compagne de monter sur sa BM.
C'est dans les gorges de l'Ardèche et dans le Vercors que nous avons été saisis tous les deux d'un bonheur fusionnel indescriptible devant le panorama. Ceci amplifié par la proximité de l'environnement ressentie par la conduite en "deux roues". Je suis sûr que c'est là, ajouté par la convivialité de l'esprit "motard", que le virus s'est introduit en nous. Nous avons gardé le scoot 3 ans et fait 8.000kms.
C'est dans les gorges de l'Ardèche et dans le Vercors que nous avons été saisis tous les deux d'un bonheur fusionnel indescriptible devant le panorama. Ceci amplifié par la proximité de l'environnement ressentie par la conduite en "deux roues". Je suis sûr que c'est là, ajouté par la convivialité de l'esprit "motard", que le virus s'est introduit en nous. Nous avons gardé le scoot 3 ans et fait 8.000kms.
3ème moto.
Après cette expérience, je cherchais un peu plus de puissance pour pouvoir suivre d'éventuelles futures sorties. J'ai d'abord essayé la Deauville dont le look me plaisait bien. Elle était au-dessus de mes possibilités financières. 2 fois j'essayais le T.Max 500 qui possédait une puissance importante, mais un gros inconvénient : on ne pouvait pas partir en vacances, c'était impossible de le charger.
Suite au salon "motos" où nous avions vu beaucoup de gros scoots, je trainais dans les magasins de motos. Un jour j'entrais chez Suzuki, je regardais du coin de l'oeil la Vstrom DL650, pourtant elle me paraissait haute. L'accueil fut chaleureux sans forcing. Je revins une 2ème fois et là, le vendeur me dit : montez dessus, vous verrez, elle se conduit comme un vélo.
La position de conduite me convînt immédiatement, le prix était de 1500€ en moins que le T.Max et l'on pouvait y monter des valises pour les voyages. Mon choix était fait sans l'essayer. La V.Strom 650 DL de couleur bleue serait à moi.
Suite au salon "motos" où nous avions vu beaucoup de gros scoots, je trainais dans les magasins de motos. Un jour j'entrais chez Suzuki, je regardais du coin de l'oeil la Vstrom DL650, pourtant elle me paraissait haute. L'accueil fut chaleureux sans forcing. Je revins une 2ème fois et là, le vendeur me dit : montez dessus, vous verrez, elle se conduit comme un vélo.
La position de conduite me convînt immédiatement, le prix était de 1500€ en moins que le T.Max et l'on pouvait y monter des valises pour les voyages. Mon choix était fait sans l'essayer. La V.Strom 650 DL de couleur bleue serait à moi.
Premiers tours de roues.
Un matin de Février 2004 je parti en bus chercher ma monture. Elle était prête et n'attendait que moi..(:-)) Le mécano la sorti avec aisance sur le trottoir et m'informa des manipulations de conduite et éléments de sécurité. Je me mis en selle, mais ne mesurant qu' 1,72 m, j'eus le sentiment qu'elle était plus haute que ressenti dans le hall d'expo. Et ce trottoir en dévers commençait à m'impres- sionner.
Parti prudemment, il me fallut me réhabituer à monter et descendre les vitesses, utiliser le frein à pied que j'avais un peu oublié avec la conduite du scooter.
Parti prudemment, il me fallut me réhabituer à monter et descendre les vitesses, utiliser le frein à pied que j'avais un peu oublié avec la conduite du scooter.
Après plusieurs mois de mis en "jambe" je m'adaptais à ma nouvelle compagne. La hauteur de selle était quand même un certain handicap dans les basses vitesses et manoeuvres pour ma taille. Il me fallait trouver le juste équilibre surtout en duo. Par contre je me trouvais si bien en roulant, ma passagère également en appui sur le top case.
Désirant voyager, je fis monter un porte bagages et je reçu en cadeau d'anniversaire, qui n'étais pas très loin, une paire de valises Givi type E360, d'une contenance de 40 litres. Le gabarit de la Vstrom s'en trouvait sensiblement modifié. Avec tout çà nous devrions pouvoir nous lancer dans "l'aventure et la découverte". Fin Mai 2004, je participais durant 3 jours à une rencontre touristique à coté d'Angers avec d'autres sur des engins de toutes marques.
Désirant voyager, je fis monter un porte bagages et je reçu en cadeau d'anniversaire, qui n'étais pas très loin, une paire de valises Givi type E360, d'une contenance de 40 litres. Le gabarit de la Vstrom s'en trouvait sensiblement modifié. Avec tout çà nous devrions pouvoir nous lancer dans "l'aventure et la découverte". Fin Mai 2004, je participais durant 3 jours à une rencontre touristique à coté d'Angers avec d'autres sur des engins de toutes marques.